tag:blogger.com,1999:blog-4179588125368658397.post5329059086812662749..comments2024-03-24T09:59:42.919+01:00Comments on Liberté, Libertés chéries: Facebook, instrument de preuve à l'appui d'un licenciementLiberté Libertés Chérieshttp://www.blogger.com/profile/00556946980524137446noreply@blogger.comBlogger3125tag:blogger.com,1999:blog-4179588125368658397.post-72940624114863258052020-10-13T20:12:50.469+02:002020-10-13T20:12:50.469+02:00Un grand merci pour cette intéressante contributio...Un grand merci pour cette intéressante contribution. Je lis régulièrement votre blog dont j'admire la qualité. <br /><br />Cet arrêt en rappelle un autre, adopté par la Cour du Travail de Liège en mars 2017. Dans cette affaire, l'appelant avait été licencié pour avoir "liké" des groupes Facebook associés au mouvement dit de la quenelle. La Cour a considéré que ce "j'aime" était une atteinte suffisamment importante à l'image de la société qui employait cet individu qu'elle justifiait son licenciement pour faute grave. Laurent Fastreznoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4179588125368658397.post-35849865410604454692020-10-13T20:10:05.156+02:002020-10-13T20:10:05.156+02:00Quoique je ne puisse que partager le bon sens de v...Quoique je ne puisse que partager le bon sens de votre commentaire, l'avertissement qui semble s'adresser aux "jeunes" vise mal. Ce sont essentiellement les "vieux" qui utilisent désormais Facebook, la majorité de ses utilisateurs ayant plus de 35 ans(et donc ayant passé, pour beaucoup, l'âge de la "génération festive").Laurent Fastreznoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4179588125368658397.post-58933218141378433832020-10-13T11:34:31.556+02:002020-10-13T11:34:31.556+02:00Votre démonstration juridique est parfaitement arg...Votre démonstration juridique est parfaitement argumentée. Votre avertissement lancé aux "social media addicts" est tout à fait pertinent. Il rappelle ce que l'on enseignait dans un temps révolu à nos jeunes têtes blondes : si la parole est d'argent, le silence est d'or.<br /><br />Mais comme chacun le sait, le coeur a ses raisons que la raison ne connaît pas. A l'heure de la trottinette reine et du selfie roi, comment empêcher la génération "festive" de s'évader virtuellement de son train-train quotidien, dont elle se sent esclave, en s'exposant sur les réseaux sociaux ?<br /><br />Comme le soulignait si justement le regretté Pierre Dac :" Rien ne sert de penser, il faut réfléchir avant".<br /><br />Formons le voeu, extravagant, que cette dernière jurisprudence de la Cour de cassation conduise certains écervelés irresponsables à réfléchir avant de penser sur les réseaux sociaux ! Si tel était le cas, nous assisterions à une révolution copernicienne. Mais, ne rêvons-pas ! Le fameux "réel, c'est quand on se cogne" de Jacques Lacan a encore de beaux jours devant lui. Les GAFAM peuvent encore dormir sur leurs deux oreilles en dépit des taxations que leur promet l'OCDE.Anonymousnoreply@blogger.com